Reminiscence
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Réalisateur : |
Lisa JOY | ||
Acteurs : |
Hugh Jackman, Rebecca Ferguson, Thandiwe Newton, ... | |||
Genre : |
Science fiction, Romance, Thriller | |||
Durée : |
1 h 56 | |||
Date de sortie : |
25/08/2021X | |||
Titre original : |
Reminiscence | |||
Note "critique" : |
2,00 | |||
Classement 2021 |
35 / 93 |
Résumé : |
.O xx |
.O. Dans un futur proche, Miami a été submergé par les flots, suite aux effets du changement climatique. Un enquêteur privé, Nick Bannister, est engagé par des clients afin de retrouver leurs précieux souvenirs. Au cours de sa dernière affaire, il tombe éperdument amoureux de sa cliente. A sa disparition, le détective est désemparé et se lance à sa recherche. Il se retrouve alors perdu dans une boucle temporelle et découvre des aspects de sa personnalité qu'il ne connaissait pas auparavant. .O. |
Xavier |
.O. Le film se déroule suivant un faux rythme assez perturbant au départ : les personnages sont tous plus clichés les uns que les autres avec Hugh Jackman en soldat fatigué qui semble à deux doigts de nous faire une chanson du Gretest Show quand il rencontre Rebecca Fergusson, la femme fatale à la robe rouge. Tandie Newton joue l'assistante amoureuse en silence mais efficace avec le maniement des armes et tout ce petit monde évolue à petite vitesse. "La nostalgie est une drogue" disait la bande-annonce ? Voilà une bonne piste à suivre pour comprendre le rythme de ce film qui se perd un peu dans l'utilisation de sa machine à lire les rêves mais qui nous trimballe gentiment d'histoire en histoire pour nous permettre d'emboîter les pièces du puzzle. Le jeu n'est pas trop difficile mais il y a un charme suranné à suivre les aventures de Nick Bannister et sa course impossible pour attraper le grand amour. Bref, "Reminiscence" n'est pas un grand film de SF comme j'aurai aimé qu'il le soit mais, sans se démonter le cerveau, il propose une petite enquête qui n'est pas désagréable à suivre. |
Première : ¤ ¤ |
.O. L’ennui, c’est que son techno-thriller ne décolle jamais tout à fait (...). Ce n’est qu’à la fin, quand elle touche enfin le rivage de la pure mythologie, qu’elle joue avec des notions finalement plus littéraires que visuelles ou théoriques, qu’elle finit par trouver la note de son film et son émotion – un peu trop tard. .O. |
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